
Nicolas Tardieu, qui a inspiré ce roman, est un chef d’entreprise résidant sur la Côte d’Azur. Il a été le plus gros joueur de France.

Sensibilisé dès son enfance au patrimoine architectural urbain menacé de disparition dans Nice, sa ville natale, il a, longtemps avant la mode de l’« urbex », photographié des lieux en reconstruction tels Berlin, Lisbonne, Naples et Tunis. Ses photographies ont été exposées à l’Institut du monde arabe à Paris ainsi qu’à Beyrouth.

Agrégée en histoire et docteure d’une thèse sur le développement de Nice au XIXe siècle, elle enseigne l’histoire, l’histoire des arts et le patrimoine à l’Université Côte d’Azur et a publié des études sur ces sujets. Elle est membre du Centre de la Méditerranée moderne et contemporaine.

Photographe installé sur la Côte d’Azur depuis une vingtaine d’années, voyageur passionné, il parcourt le monde pour capturer des paysages naturels, avec une prédilection pour les scènes nocturnes. Son travail se distingue par une minutie dans les détails, une maîtrise de la lumière et des couleurs vibrantes, qui insufflent à chaque image une intensité unique. Ses photos, publiées dans des revues telles que Terre sauvage et Géo, ont été récompensées à plusieurs reprises. En 2021, il signe L’Empreinte du ciel étoilé aux éditions Gilletta. À travers ses œuvres, il révèle la beauté éphémère de la nature et invite à la préserver pour les générations futures.

Passionné par l’histoire naturelle et l’astronomie en particulier, Cyrille Baudouin navigue depuis plus de vingt ans dans la galaxie de la recherche scientifique. Après avoir débuté comme ingénieur, il s’est spécialisé dans la transmission des savoirs. Ces dernières années, son expertise a été mise au service d’enjeux de territoire. Il a notamment rédigé le dossier de candidature de la Réserve internationale de ciels étoilés Alpes-Azur-Mercantour.


Sébastien Botella, natif du sud, a commencé sa carrière comme journaliste puis photographe à Nice-Matin. Très vite, l’aventure, tout autant technique qu’esthétique, qu’offrent les prises de vues en drone le tente. Il s’éloigne des traditionnels reportages urbains pour gravir les plus hautes cimes et réaliser des clichés totalement inédits d’anciennes fortifications. Ses images et ses vidéos témoignent d’un véritable attachement aux paysages naturels et apportent à la photographie une contemporanéité saisissante.

Malou Andréa Bonvissuto est née en 1995 et a grandi dans la Creuse. Elle se conforme à un enseignement de danse classique et contemporaine au conservatoire de Limoges. En 2013, elle s’installe à Nice pour suivre des études pratiques et théoriques en Arts du spectacle et danse à l’Université de Nice Sophia-Antipolis. Au-delà de son parcours académique, elle expérimente les danses baroque, indienne et orientale. La danse contact improvisation l’inspire particulièrement. Danseuse professionnelle, elle s’investit dans divers projets chorégraphiques. De 2015 à 2017, elle participe au festival « À corps » au TAP de Poitiers. En 2016, elle partage une performance menée par Latifa Laâbissi, où elle reprend une chorégraphie de Valeska Gert. En 2017, elle rejoint la compagnie Antipodes et est notamment l’interprète du court-métrage Animale, chorégraphié par Lisie Philip et réalisé par Raphaël Thiers. Ce film est primé au festival « Experimental film & music video » de Toronto, en 2019, et au festival « In shadow » de Lisbonne la même année.
Maurice Guerrin, Niçois d’adoption depuis 1948, a mené une carrière de juriste international et d’économiste en tant que haut fonctionnaire à la Commission européenne. Dès son plus jeune âge, il dessine : pour lui-même d’abord et, depuis plusieurs années, pour exposer ses travaux et publier des ouvrages en diversifiant ses médiums et techniques : aquarelles, encres, fusains, sanguines, pastels à l’huile et acryliques.